Qui est infidèle?
Qui est infidèle?
Si vous posez ainsi la question, on vous répondra "tout le monde".
En fait, même si l'infidélité est fréquente, la bonne question serait "Qui peut être infidèle ? " et la réponse est bien "tout le monde"
La question intéresse les sociologues, les psychologues, les juriste et tout un chacun.
Les hommes sont sensiblement plus portés à l'infidélité que les femmes .
Cela ne veut pas dire que les femmes sont naturellement plus sages, mais c'est parce que les occasions d'infidélité sont moins nombreuses et qu'elles se feraient plus facilement remarquées. Elle sont tout de même plus raisonnables, et ont plus que les hommes la crainte de briser le foyer et de nuire à la sécurité du ménage.
L'âge est un facteur . Au-dessous de 50 ans, on est plus infidèle qu'on ne le sera plus âgé. Disons que plus on est jeune, plus on est potentiellement infidèle
Après la ménopause, les femmes sont très sensiblement moins portées à tromper leur conjoint.
Le niveau de formation a un effet puisque le taux d'infidélité augmente avec le niveau d'instruction. Les femmes des hommes instruits ont moins tendance à l'infidélité, sans doute parce que le confort matériel et culturel dans lequel elles vivent las laisse moins en quête d'aventures.
Le lieu d'habitation est important. Dans les villes les occasions de rencontres dissimulées ou discrètes sont faciles alors que dans les zones rurale on est beaucoup plus sous le regard et la médisance des autres.
Les convictions religieuses ne jouent pas pour retenir hommes et femmes de se laisser aller à l'infidélité. Ce qui retient c'est la crainte de se faire découvrir avec les conséquences.
Les hommes et les femmes heureux dans leur ménage ne sont pas à l'abri de l'infidélité, mais ceux et celles qui sont malheureux y cèdent plus souvent.
Les hommes et les femmes qui occupent les hautes sphères de la société et qui sont au-desssus de la communautés des hommes et des femmes sont les plus gros consommateurs d'aventures extra conjugales. Pour eux, l'infidélité multipliée est un jeu, un rite, une façon de vivre, et sur ce plan-là, ils fonctionnent comme une secte avec des codes qui leur sont propres.
Qui est infidèle?
Si vous posez ainsi la question, on vous répondra "tout le monde".
En fait, même si l'infidélité est fréquente, la bonne question serait "Qui peut être infidèle ? " et la réponse est bien "tout le monde"
La question intéresse les sociologues, les psychologues, les juriste et tout un chacun.
Les hommes sont sensiblement plus portés à l'infidélité que les femmes .
Cela ne veut pas dire que les femmes sont naturellement plus sages, mais c'est parce que les occasions d'infidélité sont moins nombreuses et qu'elles se feraient plus facilement remarquées. Elle sont tout de même plus raisonnables, et ont plus que les hommes la crainte de briser le foyer et de nuire à la sécurité du ménage.
L'âge est un facteur . Au-dessous de 50 ans, on est plus infidèle qu'on ne le sera plus âgé. Disons que plus on est jeune, plus on est potentiellement infidèle
Après la ménopause, les femmes sont très sensiblement moins portées à tromper leur conjoint.
Le niveau de formation a un effet puisque le taux d'infidélité augmente avec le niveau d'instruction. Les femmes des hommes instruits ont moins tendance à l'infidélité, sans doute parce que le confort matériel et culturel dans lequel elles vivent las laisse moins en quête d'aventures.
Le lieu d'habitation est important. Dans les villes les occasions de rencontres dissimulées ou discrètes sont faciles alors que dans les zones rurale on est beaucoup plus sous le regard et la médisance des autres.
Les convictions religieuses ne jouent pas pour retenir hommes et femmes de se laisser aller à l'infidélité. Ce qui retient c'est la crainte de se faire découvrir avec les conséquences.
Les hommes et les femmes heureux dans leur ménage ne sont pas à l'abri de l'infidélité, mais ceux et celles qui sont malheureux y cèdent plus souvent.
Les hommes et les femmes qui occupent les hautes sphères de la société et qui sont au-desssus de la communautés des hommes et des femmes sont les plus gros consommateurs d'aventures extra conjugales. Pour eux, l'infidélité multipliée est un jeu, un rite, une façon de vivre, et sur ce plan-là, ils fonctionnent comme une secte avec des codes qui leur sont propres.